Le soleil danse sur cette plage,
Tes yeux en éclairent le rivage
Et ta voix emplit les vides alentours,
On rit, on pleure et on court.
L'image projette l'absence d'infini,
Ton bras enserre mes écrits
Et ton assurance abîme mes détours,
On rit, on pleure et on court.
Je ne sais plus qui je veux être,
Mes désirs s'appliquent à te connaître
Et j'évoque ce bonheur sourd,
On rit, on pleure et on court.
Jusqu'à ce que la blessure s'ouvre à nouveau
Et que le sang coule entre mon dos et les maux,
On rit, on pleure et on court.