Et ça, c'est le 9 Juillet, le jour J :
Comme l'amour fait mal,
Comme, parfois, les larmes coulent,
D'aucun trouverait ça banal
Mais pas moi, je me saoule.
A l'encre de mon corps,
A la poussière de mon coeur,
Je te croyais fier et fort,
Finalement faux et tellement menteur.
Comme on peut se tromper,
Comme on peut se fourvoyer.
Je me croyais aimée et en sécurité
Puis, simplement, tu m'as laissée.
Mais je ne connais rien de lui,
N'écoute pas, de son âme les battements
Tandis qu'il connaît sur le bout des doigts chacun de mes cris.
Quel déchirement.