J'ai juste eu ce que je voulais,
Ainsi, je dois bien avouer que tout est parfait,
Et pour finir, accepter ce qui me déplait,
Cette philosophie me tue et ne me tiendra jamais.
A la vérité, le rêve ne touche jamais vraiment la réalité,
Chaque fois, on croit réussir à matérialiser
Un songe alors que ce n'est qu'une illusion déjà effacée,
C'est toujours mieux dans l'autre monde, il faut l'accepter.
Quand je rêve de toi,
Alors même que je ne te connais pas,
J'idéalise jusqu'à ta voix
Et si je te possède enfin, je n'aime pas être dans tes bras.
Peux-tu m'assurer que tes doigts
Auront le touché de la soie,
Peux-tu me réchauffer quand j'ai froid,
Me redonner sans arrêt confiance en moi.
Je ne sais pas, je ne crois pas,
Je pense que mes rêves ne sont plus toi.
Texte écrit il y a bientôt un mois, des années en battements de coeur...
Les rêves deviennent parfois réalité